✨ “Je n’y arriverai jamais, c’est trop difficile”
“C’est impossible à faire”
“Je suis trop vieux (vieille), c’est trop tard pour moi”
“Je n’y comprends rien, ce n’est pas fait pour moi”
✨ “J’aimerai bien me mettre au sport, mais je n’ai pas d’énergie”
“J’aimerais bien savoir faire comme lui, mais c’est trop compliqué”
“Je voudrais bien pouvoir penser à moi, mais je n’ai pas le temps”
✨ Toutes ces phrases, ces pensées, représentent ce que l’on appelle les croyances limitantes.
Ce sont des schémas de pensées que le cerveau met en place pour :
Éviter de faire un effort trop conséquent pour un objectif qu’il considère comme très incertain.
Nous protéger
✨ Ici, notre cerveau, comme à son habitude, cherche à nous protéger au mieux car c’est son rôle.
En effet, il a horreur de faire des efforts s’il n’est pas sûr qu’il y aura quelque chose de sympa à la clé (il cherche donc à nous éviter le sentiment d’avoir trimé pour rien) et il veut nous éviter de souffrir (en particulier si on a déjà souffert (suite à un échec par exemple, ou des moqueries, etc), il fera tout pour que l’on ne revive pas un tel épisode douloureux. Et pour ne pas revivre un épisode douloureux, la meilleure façon est encore d’éviter de s’y confronter (c’est trop compliqué, ce n’est pas fait pour moi, je suis trop âgé(e), etc).
✨ Le souci c’est que si on a un projet qui nous tient à cœur, ce genre de croyances limitantes peut nous pourrir la vie bien comme il faut en nous empêchant de le mener à bien.
✨ Donc, si vous voulez transformer ces croyances limitantes en croyances libératrices de potentiel, la première chose que vous pouvez faire est de vous demander quels sont les bénéfices que vous en retirez :
✨ “De quoi me protègent-elles ? Qu’est-ce qu’elles m’apportent ? Qu’est-ce qu’elles me permettent de faire ? Ou d’éviter ?
✨ Est-ce que cela me protège d’un échec humiliant ? Du regard des autres ? De la crise d’angoisse ?
Est-ce que cela me permet de rester dans ma zone de confort, avec mes repères rassurants, ma routine, un schéma que je maîtrise sans faire d’effort, etc… ?
✨ Quand vous aurez identifié la raison pour laquelle il est bénéfique pour vous d’alimenter cette croyance limitante, alors vous saurez sur quoi il vous faut travailler en priorité.
✨ Ensuite, changez le “MAIS” en “ET”. C’est tout bête, mais pour le cerveau, le “mais” est bloquant, sans issue, tandis que le “et” ouvre la porte à la possibilité de faire autrement.
✨ Exemples :
“J’aimerai bien me mettre au sport, MAIS je n’ai pas d’énergie” = puisque je n’ai pas d’énergie, ce n’est pas la peine d’essayer = il me faudrait de l’énergie pour me mettre au sport, donc puisque je n’en ai pas, c’est peine perdue.
Evidemment, dans ce cas, rien ne bouge.
Maintenant si à la place je dis :
“J’aimerai bien me mettre au sport, ET je n’ai pas d’énergie”, il n’y a plus rien de définitif, c’est plus du genre “et pour l’instant je n’ai pas d’énergie”. Du coup votre cerveau va pouvoir se mettre en mode “recherche de solutions” : comment faire pour obtenir l’énergie nécessaire afin de se mettre au sport ? > prendre des vitamines, manger plus équilibré, faire la sieste, etc…
“J’aimerais bien savoir faire comme lui, mais c’est trop compliqué” = C’est trop compliqué, circulez il n’y a rien à voir, ce n’est même pas la peine d’essayer.
“J’aimerais bien savoir faire comme lui, et c’est trop compliqué” = Qu’est-ce que je peux faire pour le rendre moins compliqué ? > demander plus d’explications, décomposer la tâche en plusieurs petites plus simples, commencer par la base et y aller par petites étapes, etc.
“Je voudrais bien pouvoir penser à moi, mais je n’ai pas le temps” = Je n’ai pas le temps, point final, il est impossible pour moi de trouver du temps.
“Je voudrais bien pouvoir penser à moi, et je n’ai pas le temps” = Qu’est-ce que je peux faire pour me dégager un peu de temps, même 5 minutes ? > Me lever plus tôt, manger plus vite à midi pour garder une partie de ma pause pour moi, m’obliger à finir plus tôt ma journée de travail, dire à toute la famille de me fiche la paix pendant 15 minutes le soir, etc …
✨ Si vous souhaitez aller plus loin dans le travail sur la confiance en soi en vous libérant de vos croyances limitantes pour les transformer en croyances libératrices, je vous y accompagnerai avec plaisir. Dans un premier temps, on s'appelle, on papote, et vous décidez ensuite si vous pensez que je suis la bonne personne pour investir sur vous-même ! 👍
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